“Londres a besoin et mérite son propre salon – maintenant il en a un”

Mark Schienberg et Alec Mumford ne se sont jamais rencontrés et, à première vue, ne pourraient pas être plus différents. Le premier est un Américain dont le bureau de Manhattan a la rivière Hudson d’un côté et l’Empire State Building de l’autre. Ce dernier est un Britannique dont le siège social de la société à Londres est le président du HMS – avec la Tamise en dessous et la cathédrale de St Paul ci-dessus.
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Lorsque Schienberg a fermé les portes du salon international de l’auto de New York il y a quelques jours, il – en tant que président du salon – a commencé à compter le coût de l’exposition automobile la mieux fréquentée en Amérique du Nord. Environ 300 millions de dollars sont l’impact économique positif que l’événement apporte à New York chaque année. Impressionnant, hein?
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Ce n’est pas perdu sur Mumford. Il est l’homme qui a été entrepreneurial et assez courageux pour s’assurer que le salon de l’automobile de Londres renaît et ouvert au public du 6 au 8 mai. En tant que président de l’événement, il sait qu’il ne générera pas autant de revenus que le New York Show, mais d’innombrables particuliers et sociétés bénéficieront toujours énormément de l’exposition automobile dans la capitale britannique le mois prochain.
“Imaginez une pyramide avec les fabricants de moteurs et les concessionnaires au sommet”, a-t-il déclaré. «Ensuite, les entrepreneurs et les concepteurs stand, les équipes d’éclairage et de production, le personnel travaillant sur tout, du barman à la sécurité, ainsi que des fournisseurs et une multitude de réseaux de soutien. Tout cela constitue un investissement impressionnant dans les personnes et les emplois. »
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Il n’a pas tort. Il y a aussi la petite question de HM Treasury recueillant 20% de TVA sur les millions de livres d’automobiles vendues au salon. Et avec la plupart des billets déjà pris par des amateurs d’automobiles en Grande-Bretagne et d’innombrables terres étrangères, l’événement servira incontestablement une publicité formidable pour London / Britain PLC.
“C’est une vitrine pour que les fabricants et les concessionnaires puissent atteindre à l’échelle nationale et internationale et promouvoir le message selon lequel le Royaume-Uni est un opérateur grand public en technologie, conception, construction et fourniture”, a ajouté Mumford.

Londres est une ville de cinq premiers, vraiment internationale, avec New York, Paris, Los Angeles et Tokyo. Il a besoin et mérite son propre salon. Et maintenant – grâce à Mumford – il en a un. Que vous soyez un enfant ou un adulte, un passager, un conducteur, un concessionnaire ou un fabricant, vous devez simplement y aller. Je veux dire, qui, dans leur bon sens, ne le ferait pas?
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